À Johannes Antonides Vander Linden, le 4 janvier 1657, note 7.
Note [7]

V. note [2], lettre 121, pour une autre thèse présidée (et probablement écrite) par Jean iii Des Gorris en 1625, concluant qu’on accusait injustement les médecins parisiens de prescrire trop généreusement la saignée.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johannes Antonides Vander Linden, le 4 janvier 1657, note 7.

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(Consulté le 29/03/2024)

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