À Johann Georg Volckamer, les 10 et 28 mars 1664, note 7.
Note [7]

« malheur au traître, malheur au captif, malheur au misérable » (Jérémie, 45:3) :

Dixisti væ misero mihi quoniam addidit Dominus dolorem dolori meo laboravi in gemitu meo et requiem non inveni.

[Tu as dit « Malheur au misérable que je suis ! ». Le Seigneur accumule pour moi peines sur douleurs, je suis épuisé à force de gémir et ne trouve aucun répit].

Il y a divergence sur le pays d’origine de l’espion La Pause : Toulouse pour Hugues de Lionne, Nuits-Saint-Georges (Côte-d’Or) pour Guy Patin. V. note [9] de la lettre latine suivante, pour un complément d’information sur le sort de cet espion.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johann Georg Volckamer, les 10 et 28 mars 1664, note 7.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1323&cln=7

(Consulté le 16/04/2024)

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