À Henrik von Möinichem, le 10 décembre 1664, note 7.
Note [7]

« pourtant il en faut peu, un seul même », v. supra note [2].

Tous les remèdes externes étaient sans effet, par comparaison avec les bandages, que Guy Patin avait déjà loués dans sa lettre latine 140 en confiant souffrir lui-même de hernie scrotale. La chirurgie herniaire n’a vu le jour que bien plus tard.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Henrik von Möinichem, le 10 décembre 1664, note 7.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1363&cln=7

(Consulté le 20/04/2024)

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