À Bernhard Verzascha, le 25 août 1665, note 7.
Note [7]

« et loin de moi l’idée de sembler vouloir crever les yeux des corneilles » : adage antique commenté par Érasme, dans le sens de contredire les évidences établies par les anciens auteurs en dénonçant leur ignorance (v. note [2], lettre latine 107) ; mais que Guy Patin semblait plutôt prendre ici à contresens, pour dire « nier ce qui crève les yeux ».

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Bernhard Verzascha, le 25 août 1665, note 7.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1397&cln=7

(Consulté le 24/04/2024)

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