À Christiaen Utenbogard, le 6 février 1669, note 7.
Note [7]

Somniator nihil amplius somniat : Guy Patin reprenait le latin (sans source que j’aie identifiée) qu’il avait employé dans sa précédente lettre à Christiaen Utenbogard (6 juin 1668), sans cacher à son ami que ses vaines espérances sur l’heureuse issue des déboires de Carolus le torturaient toujours quotidiennement.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Christiaen Utenbogard, le 6 février 1669, note 7.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1496&cln=7

(Consulté le 19/04/2024)

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