Annexe : La bibliothèque de Guy Patin et sa dispersion, note 7.
Note [7]

Ce montant est fort éloigné des 40 000 francs (livres tournois) que Guy Patin estimait être le prix de sa collection de livres en 1661 (lettre du 3 juin à André Falconet). En le sous-évaluant autant, Patin s’exonérait largement de la rente annuelle de 500 livres qu’il devait verser jusqu’à sa mort à son fils aîné : alors âgé de 66 ans, il en était délivré pour 20 ans. Fixée lors du mariage de Robert en 1660, cette rente était rachetable pour la somme de 9 000 livres (v. le premier des deux titres transcrits dans Comment le mariage et la mort de Robert Patin ont causé la ruine de Guy).

Cette explication est toutefois contredite par d’autres pièces du litige : v. note [10] de Comment le mariage et la mort de Robert Patin ont causé la ruine de Guy.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Annexe : La bibliothèque de Guy Patin et sa dispersion, note 7.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8012&cln=7

(Consulté le 24/04/2024)

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