Note [76] |
|
« Car j’ai moi-même, dit-il, la plus grande aversion pour de tels monstres ; et si je veux m’amuser d’un fou, je ne vais pas le chercher bien loin : je me vois et j’en ris. » Emprunt à la lettre du 24 mai 1642, v. ses notes [1] et [2]. Le commentaire qui suit y est différent, il me semble donc prudent d’en laisser la paternité aux rédacteurs de L’Esprit de Guy Patin. |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Ana de Guy Patin : |