| Note [8] |
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Curieuse note de Reveillé-Parise : « L’abus de la saignée est encore poussé à l’extrême dans ce pays, patrie du docteur Sangrado. {a} Il y a même d’incroyables préjugés à cet égard : j’ai vu des paysans conduisant leurs mules, passer devant une boutique de barbier, se faire faire une saignée très abondante, pour l’avenir et par simple précaution. » |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 11 octobre 1660. Note 8
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