À André Falconet, le 1er juin 1663, note 8.
Note [8]

« ce que disait cet homme épuisé dans Pétrone : {a} “ Crois-moi, frère, je ne sens plus que je suis un homme ; je n’y comprends rien. Elle est morte, cette partie de mon corps qui jadis faisait de moi un Achille. ” »


  1. Satyricon, cxxix, v. note [22], lettre 271.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 1er juin 1663, note 8.

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(Consulté le 25/04/2024)

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