À Johann Daniel Horst, le 22 octobre 1660, note 8.
Note [8]

Les mots entre accolades sont le début d’un post-scriptum auquel Guy Patin a renoncé. Il correspond probablement à ce qu’on lit à la fin de sa lettre imprimée (citée à la fin de la note [4] supra) :

Ago simul gratias pro  {a} Theatro Sympathetico quod hic habemus Gallice ex Domino Kenelmo Digbæo, Viro quidem Nobilissimo et Ingeniosissimo, etc. Lutetiæ Parisiorum, 22. Octobr. 1660.

[J’en profite pour vous remercier du Theatrum Sympatheticum ; nous l’avons ici traduit en français d’après M. Kenelm Digby, qui est certes un homme très noble et très ingénieux, etc. {b} De Paris, le 22e d’octobre 1660].


  1. Les trois mots latins que Guy Patin a barrés dans son brouillon autographe sont : Gratias quoque ago.

  2. V. note [28] d’une thèse de Guy Patin, « L’homme n’est que maladie » (1643), pour l’« Amphithéâtre sympathique » de Kenelm Digby (v. note [19], lettre 237) et d’autres auteurs, publié pour la première fois à Nuremberg en 1660, mais dont je n’ai pas trouvé la traduction française que mentionnait Guy Patin. Peut-être voulait-il parler du seul ouvrage de Digby publié en français avant 1660 : Discours fait en une célèbre assemblée touchant la Guérison des Plaies par la Poudre de Sympathie. Où sa composition est enseignée, et plusieurs autres merveilles de la Nature sont développées (Paris, Augustin Courbé et Pierre Moet, 1658, in‑8o).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johann Daniel Horst, le 22 octobre 1660, note 8.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1179&cln=8

(Consulté le 28/03/2024)

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