À Charles Spon, le 5 mars 1652, note 9.
Note [9]

Guy Patin ne s’étant jamais privé de colporter les sous-entendus galants, voire grivois sur les relations d’Anne d’Autriche avec Mazarin ; mais la suite de la lettre (v. infra note [22]) convainc qu’il était ici ironique.

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 5 mars 1652, note 9.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0282&cln=9

(Consulté le 29/03/2024)

Licence Creative Commons