À Charles Spon, le 6 mars 1654, note 9.
Note [9]

« Les jeunes peuvent certes mourir, mais les vieillards ne peuvent vivre longtemps » (v. note [9], lettre 145). Guy Patin conjecturait à tort : Fortunio Liceti (v. note [4], lettre 63) ne mourut que trois ans plus tard, le 17 mai 1657.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 6 mars 1654, note 9.

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(Consulté le 19/04/2024)

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