À Charles Spon, le 13 août 1658, note 9.
Note [9]

On dit que quelqu’un « joue les deux quand il a intelligence avec les deux parties contraires, et qu’il trompe l’une et l’autre » (Furetière) : c’est aujourd’hui « faire double jeu ».

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 13 août 1658, note 9.

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(Consulté le 25/04/2024)

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