À André Falconet, le 3 août 1660, note 9.
Note [9]

« une maladie des viscères, d’où la substance propre est menacée de putréfaction par une ancienne et forte intempérie qui a engendré une mauvaise diathèse, {a} qu’aucun secours de notre art ne peut réduire.

“ Toutes choses trépassent, nous passerons, vous passerez, ils passeront. Inconnus, célébrités, sont tous égaux de condition. ” {b}

C’est que notre empourpré se porte mal ».


  1. Disposition, v. note [4], lettre latine 17.

  2. V. note [3], lettre 140.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 3 août 1660, note 9.

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(Consulté le 29/03/2024)

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