À Johannes Antonides Vander Linden, le 4 janvier 1657, note 9.
Note [9]

V. notes [32], lettre 442, pour le traité « sur la Pleurésie » de François Blondel, resté inédit.

Guy Patin reprochait ici à son collègue Blondel d’être encore plus rétrograde que lui : il ne jurait que par Hippocrate et Galien, sans aucune considération pour les travaux des modernes, dont le plus éminent, aux yeux de Patin, était Jean Fernel.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johannes Antonides Vander Linden, le 4 janvier 1657, note 9.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1102&cln=9

(Consulté le 28/03/2024)

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