Note [24] |
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« et dont il a heureusement guéri » ; v. notes [6], lettre 751, pour la rougeole de Louis xiv et [20], lettre 748, pour la fièvre de sa mère (Guy Patin a reconnu dans une lettre ultérieure qu’on lui avait fait prendre du vin émétique). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 5 juin 1663, note 24.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0752&cln=24 (Consulté le 01/06/2024) |