À André Falconet, le 29 décembre 1666, note 1.
Note [1]

« Il [Dieu] ne veut pas la mort du pécheur, mais bien au contraire, qu’il se convertisse et vive » : Nolo mortem impii sed ut revertatur impius a via sua et vivat [Je ne veux pas la mort de l’impie, mais qu’il change sa voie et qu’il vive] (Ézéchiel, 33:11).

L’ouverture faite au côté de Me Élie Béda, collègue fort haï de Guy Patin, qui allait mourir en août suivant, avait dû être un drainage de la plèvre (enveloppe du poumon).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 29 décembre 1666, note 1.

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(Consulté le 05/05/2024)

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