Note [2] |
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« Jules est enfin sous terre : c’est merveille qu’entouré par tant de bourreaux un larron ait eu du mal à mourir » ; Guy Patin ne se lassait décidément pas de rabâcher ce distique de François du Monstier (v. note [8], lettre 684). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À François Teveneau, le 21 juin 1661, note 2.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1202&cln=2 (Consulté le 19/05/2024) |