Note [3] | |
« Prendre le plus court, pour dire, le chemin le moins long, le plus abrégé » (Furetière) : Guy Patin pensait qu’une paix rapide avec les Espagnols n’était pas le premier souci de Mazarin. Et il n’avait pas tort (Mme de Motteville, Mémoires, page 286) :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Nicolas Belin, le 21 juillet 1649, note 3.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0189&cln=3 (Consulté le 10/05/2024) |