À Johannes Antonides Vander Linden, le 18 février 1656, note 8.
Note [8]

Sans nommer Antoine Guénault, meneur du parti antimonial dans la Compagnie des docteurs régents de la Faculté de médecine de Paris, Guy Patin l’accusait ignoblement d’avoir tué quatre de ses proches parents, comme il l’avait déjà fait dans sa  précédente lettre à Johannes Antonides Vander Linden : v. ses notes [8] et [9].

V. note [1], lettre de Hugues ii de Salins, datée du 3 mars 1657, pour l’éloge de Patin dans les Selecta medica [Morceaux médicaux choisis] de Linden (Leyde, 1656). Son nom figure aussi dans l’index (pour un renvoi à cette mention).

En retour, Patin n’a pas rendu hommage à Linden dans les rares écrits qu’il a fait imprimer après 1656 : ses deux thèses de 1670 et 1671, en omettant bien sûr 56 honorables mentions qui figurent dans sa correspondance française, car elle a paru malgré lui et après sa mort.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johannes Antonides Vander Linden, le 18 février 1656, note 8.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1077&cln=8

(Consulté le 19/05/2024)

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