de la dépression dans l’appendice du radius qui doit être indiqué par x, y et z. Sur la deuxième figure, il indique la surface où le cartilage est attaché à l’appendice du radius[413]. Sur la troisième figure, il indique la surface cartilagineuse en regard du carpe ; sur la quatrième figure, il indique la surface cartilagineuse qui recouvre l’ulna. | |
V 2, 6, 10 | Les dépressions dans l’appendice de l’ulna ainsi que la partie de l’ulna à laquelle l’appendice est attaché, dont la fonction est d’envoyer un tendon d’un des muscles extenseurs du poignet. |
X, Y, Z | Ces trois lettres dans la sizième figure et x et Z dans la deuxième figure circonscrivent la surface triangulaire de l’ulna qui est convexe et sans chair[414]. Mais Z indique en particulier le sommet du triangle. |
a, a 1, 2, 3 | Première ligne en relief sur l’ulna. |
b, b 1, 2, 5 | Deuxième ligne en relief sur l’ulna. Dans la troisième et la cinquième figures, b indique plus particulièrement la portion de ligne qui longe obliquement le col de l’ulna. |
c, c 1, 2, 5 | Troisième ligne en relief sur l’ulna. |
d 1, 6 | Face de l’ulna entre la première et la deuxième lignes. |
e 2, 6 | Face de l’ulna entre la première et la troisième lignes. |
f 1, 5 | Face de l’ulna entre la deuxième et la troisième lignes. |
g, g 2, 6 | Ligne propre à la surface entre la première et la troisième lignes. |
h, i 1 | Ces deux lettres montrent les deux surfaces où le radius est articulé avec l’ulna ; h est la surface supérieure et proximale par rapport à l’humérus, i la surface inférieure et contiguë au carpe. |
k, k 2 | Sur toute cette étendue, il y a un espace entre les deux os de l’avant-bras (et cela parce que le radius est courbé en forme d’arc). |
l 5, 11 | Dépression creusée dans l’ulna [incisure radiale], dans laquelle la tête du radius tourne. |
m 3, 4, 9 | Surface de la petite tête du radius logée dans la dépression de l’ulna indiquée par l. |
n 1, 3 | Surface interne de l’appendice inférieur du radius ; dans les figures suivantes, c’est à dire la deuxième, la quatrième, la septième et la huitième, la surface externe est représentée, avec d’autres caractères. |
o 1 | Dépression creusée dans le processus du radius [incisure ulnaire], dans laquelle le processus de l’ulna est reçu. |
P 5, 10 | Partie saillante de l’appendice de l’ulna, entrant dans la dépression du radius indiquée par o. |
q 1, 2, 3, 4, 9 | Large processus abrupt du radius, sur lequel le tendon du muscle fléchisseur antérieur de l’avant-bras s’insère. |
r, r 1, 2, 3, 4 | Ligne acérée [ligne interosseuse] sur la surface inférieure du radius, en regard de l’ulna ; elle est saillante sur toute la longueur de l’avant-bras. |
s, s 1, 3 | Côté interne [antérieur] de la ligne précédemment indiquée. |
t, t 2, 4 | Côté externe [postérieur] de la ligne précédemment indiquée. |
u 2, 4 | À cet endroit le radius est rugueux, de manière que deux des quatre muscles qui lui sont propres puissent s’y insérer plus solidement. |
x, y, z 1, 8 | Dépression incisée dans l’appendice du radius pour l’articulation avec le poignet. z indique le tubercule de la dépression qui est assez saillant, construisant en quelque sorte une dépression jumelle dont les parties peuvent être indiquées par x et y. |
α1, 2, 3, 4 | Partie la plus proéminente de l’appendice du radius [processus styloïde], qui augmente la dépression sur sa surface supérieure ou interne dans laquelle le carpe est articulé ; cet appendice est plus saillant que le processus styloïde de l’ulna indiqué par R. |
γ δ ε ζ η | Sur la deuxième et la quatrième figures ces lettres indiquent la région convexe et externe de l’appendice inférieur du radius, avec la surface de l’os à laquelle l’appendice est attaché ; chaque lettre indique une dépression distincte sur cette surface, γ la première dépression, δ la deuxième, ε et ζ la troisième, η la quatrième. |
θ | Sur la deuxième figure θ indique la dépression commune au radius et à l’ulna. |
L’avant-bras. L’ulna. Le radius. Toute la partieaa A, B dans les figures 1, 2 ; T, V dans les figures intégrales. entre le bras et le poignet est appelée par les Grecs pêchus, mais Cubitus par les Latins. Elle contient deux os placés l’un à côté de l’autre et articulés l’un avec l’autre ; celui qui est en-dessous [c’est-à-dire en dedans ou médial]b,b Les figures 5, 6 en totalité ; ou Y dans la deuxième figure intégrale. qui est aussi le plus long, est également appelé pêchus et cubitus. Pour éviter que cette homonymie soit cause d’obscurité dans l’exposé, nous avons décidé d’employer le mot de Cubitus toutes les fois où il sera fait mention de l’ensemble de l’architecture composée par les deux os avec les ligaments, les veines, les artères les nerfs, les membranes et la peau, et de désigner l’os placé en dessous par le nom d’ulna, celui au-dessus [c’est-à-dire en dehors ou os latéral]cc Les figures 3, 4 en totalité ; ou X dans la deuxième figure intégrale. sera appelé radius (comme nous l’avons fait jusqu’à présent) dans tout l’exposé. Ces deux os sont des os longs mais ils sont en grande partie différents l’un de l’autre. D’abord, ils sont articulés avec l’extrémité inférieure de l’humérus par deux articulations de forme différente.Articulation de l’ulna avec l’humérus. Description des ses propres dépressions et processus. En effet l’ulna s’articule avec le sillon ou la trochlée de l’humérusdd K, L, M dans les figures 1, 2 du chapitre 23. au moyen de dépressions propres et de processus convenant à cet usage. À l’extrémité supérieure, là où il est très épais, solide et dépourvu d’appendice, tout comme l’extrémité inférieure de l’humérus, l’ulna a deux processus remarquablese:e Figures 1, 2, 5, 11: C le processus antérieur, D le processus postérieur.
f n dans la figure 1 du chapitre 23. l’un [processus coronoïde] est en avant ou antérieur par rapport à l’autre, il est en regard de la dépression [fosse coronoïdienne]f sculptée dans la surface antérieure de l’humérus près de la région supérieure de la trochlée, et avec ses tubérosités il s’adapte parfaitement à cette dépression ; ce processus est ici large,