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Le but de cette étude a été d'évaluer la faisabilité et la morbidité du traitement coelioscopique des ulcères perforés du duodénum ou de l'estomac. Le taux et les raisons de conversion en laparotomie, la durée d'intervention, la présence d'un drainage, la durée d'hospitalisation et les complications postopératoires ont été étudiés. La coelioscopie a permis le traitement de la péritonite et de la perforation d'ulcère chez 90 % des malades. Trois malades ont nécessité une reprise chirurgicale. Chez tous les autres malades, les suites ont été simples. Une amélioration des possibilités techniques devrait permettre d'optimiser ces résultats.
Prise en charge des plaies de l'abdomen par arme blanche à l'Hôpital de Bicêtre.
Depuis 1990, la prise en charge des plaies de l'abdomen a cherché à proposer une chirurgie élective pour réduire le nombre de laparotomies blanches ou de laparotomies non contributives en cas de lésions superficielles ou bénignes des parenchymes. En dehors des indications de laparotomie évidentes sur la notion de choc, d'éviscération, de péritonite, d'épanchement intra-abdominal important, il a été envisagé, entre 1990 et 1996, une approche moins invasive, coelioscopique, pour attester du caractère pénétrant de l'agent vulnérant et faire un bilan lésionnel. Depuis 1996, pour ces blessés chez lesquels la certitude d'atteinte viscérale n'est pas évidente, pour réduire l'agression chirurgicale et éviter les insuffisances de la coelioscopie, il a été progressivement substitué une attitude " conservatrice " de surveillance très stricte de l'état clinique, de la déglobulisation, et de l'imagerie par tomodensitométrie au 1er et au 7ème jour. A propos de plus de 200 blessés, les avantages et écueils de ces divers modes de prise en charge sont analysés. Il est évoqué la perspective plus précise de la surveillance instituée, de la durée d'hospitalisation à définir chez les patients présentant des lésions parenchymateuses et de l'extension de cette attitude conservatrice pour les plaies parenchymateuses où l'adjonction d'un traitement endovasculaire peut permettre d'obtenir une hémostase en concourant à la stabilisation des blessés et l'absence de laparotomie.
Les recommandations organisationnelles Chirurgie Ambulatoire ANAP-HAS 2013
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Compte tenu des enjeux liés au développement de la chirurgie ambulatoire à la fois pour les patients, les professionnels de santé, les établissements et les tutelles, l’Anap et la Has ont construit un partenariat fin 2011 renforcé autour d’un programme de travail com-mun sur la chirurgie ambulatoire. L’objectif est de fournir aux acteurs de terrain des outils, guides, recommandations et des accom-pagnements. Le programme pluriannuel se décompose en 6 axes, depuis la revue de la littérature internationale jusqu’à la prise en compte des résultats des travaux communs dans l’évolution de la procédure de certification et d’accréditation. L’axe pivot de ce programme consiste en la publication de recommandations organisationnelles et d’outils à partir de deux démarches terrain. L’une consiste à identifier les facteurs clés de succès (organisationnels et culturels) à travers un benchmark ciblé sur les 15 établissements français les plus performants en ambulatoire, l’autre en une analyse de risque organisationnel à partir de méthodes éprouvées visant à identifier les défaillances potentielles et les barrières de sécurité à mettre en œuvre dans un échantillon de 5 établissements de santé. Les recommandations organisationnelles seront publiées fin mars 2013 et associeront des principes fondamentaux qui repren-nent les concepts de la chirurgie ambulatoire (gestion des flux et gestion des risques) et qui sont considérés comme les bases indis-pensables et préalables à toute démarche, des éléments stratégiques de niveau global, des éléments à visée opérationnelle et une vi-sion prospective du développement futur de la chirurgie ambulatoire. Intervenant : JP TRIBOULET (Lille)