Notre série de 40 malades ayant eu ces dix dernières années un traitement chirurgical de kystes hépatiques non parasitaires a inclus plusieurs types d'interventions. Lorsqu'il s'agissait de kystes uniques, une fenestration sous coelioscopie était généralement curative mais en cas de kystes d'accès difficile ou de polykystose, une résection hépatique a été réalisée afin d'obtenir une sédation durable des symptômes. Cette technique a cependant été associée à une morbidité importante. Nos résultats montrent qu'en cas de kystes hépatiques symptomatiques, le geste thérapeutique doit dépendre d'une bonne sélection des malades.