V. note [10], lettre 165, pour ces deux évêques, espions de Mazarin, que le coadjuteur a désignés comme étant au courant du complot qui visait à le tuer, ainsi que Beaufort (v. supra, note [91]).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 20 mars 1649, note 97.