« par les deux veines basiliques [v. note [3], lettre 144], pour tempérer l’ardeur et éteindre l’acrimonie du sang trop abondant ».
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 16 septembre 1650, note 26.