À Claude II Belin, le 31 janvier 1651
Note [5]
« Qu’est-ce qui distingue la pleurésie vraie de la fausse ? Qu’est-ce qui distingue la putréfaction de la peste de cette de la fièvre quarte ? Combien y a-t-il de signes de dysenterie vraie ? De quelle manière le pourpier détruit-il les vers ? »
« La vraie pleurésie a son siège dans la plèvre, ou du moins aux muscles intercostaux qui lui sont adhérents ; la fausse pleurésie, ou la bâtarde, aux muscles qui sont au-dessous des côtes » (Furetière).