À Nicolas Belin, le 5 juin 1649, note 8.
Note [8]

« dans une décoction de pourpier ».

Le pourpier est une « herbe qu’on mange en salade et dans le potage » (Furetière). « Le pourpier domestique rafraîchit, étant humide au second degré et froid au troisième. Il incrasse [épaissit le sang], répercute, restreint et condense. Il est céphalique et néphrétique, et fait mourir les vers. Selon quelques-uns le pourpier sauvage échauffe » (Thomas Corneille).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Nicolas Belin, le 5 juin 1649, note 8.

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(Consulté le 26/04/2024)

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