À Claude II Belin, le 11 juin 1654

Note [12]

« Un chien courtaud, celui à qui on a coupé la queue […]. On dit aussi, qu’on a étrillé quelqu’un en chien courtaud, qu’on l’a frotté en chien courtaud, pour dire, qu’il a été battu outrageusement » (Furetière).

Jouant sur les mots, Guy Patin visait ici Siméon Courtaud, inspirateur, sinon auteur présumé de la Seconde Apologie (v. supra note [1]). Il annonçait à mots couverts le Cani miuro… de Charles Guillemeau (juin 1654, v. note [14], lettre 358).


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 11 juin 1654, note 12.

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(Consulté le 05/05/2024)

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