À Charles Spon, le 26 octobre 1655
Note [16]
« s’est affranchi de toute honte ».
Guy Patin laissait éclater sa fureur et son humiliation : lui, avait porté un pronostic de mort imminente, mais Pierre Gassendi avait refusé de s’y résigner et accepté qu’Élie Béda des Fougerais, un des plus solides ennemis de Patin, vînt proposer ses remèdes. Patin avait perdu la confiance du savant dont il se targuait d’être un des meilleurs amis. On murmurait même sur la pertinence de ses avis médicaux (v. note [20], lettre 528).