À Charles Spon, le 22 février 1656

Note [2]

« dont les regards se sont gorgés du ciel aventin, et qui favorisent la phalange loyolitique. » ; Juvénal, Satire iii, vers 84‑85 (pour répondre à l’arrogance des Grecs envers les Romains) :

Usque adeo nihil est, quod nostra infantia cælum
hausit Aventini baca nutrita Sabina ?

[Cela vraiment ne compte-t-il pour rien que mes regards d’enfant se soient gorgés du ciel de l’Aventin, {a} que je me sois nourri d’olives de la Sabine ?]


  1. L’une des sept collines de Rome.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 22 février 1656, note 2.

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(Consulté le 26/04/2024)

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