Bulderen, noclxvi (tome ii, pages 1‑3), à Spon, et Reveillé-Parise, nodii (tome iii, pages 179‑180), à Falconet, le 27 février 1660.
J’ai opté pour Falconet à cause de « votre abbé hydropique » : un prêtre catholique aurait répugné à se faire soigner par un médecin huguenot.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 27 février 1660, note a.