À André Falconet, le 13 juillet 1660

Note [11]

« N’est-ce pas alors qu’elle succombera à son mauvais sort, par la honte de la prison et par l’effroi suprême du supplice mortel ? » Les deux témoins appelés à comparaître dans cette mauvaise affaire étaient Jacques Le Large (v. note [18], lettre 285) et N., sans doute un médecin, dont les premiers éditeurs des Lettres ont préféré dissimuler le nom.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 13 juillet 1660, note 11.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0622&cln=11

(Consulté le 30/04/2024)

Licence Creative Commons "Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.