À Claude II Belin, le 12 octobre 1660
Note [3]
« admettait une âme du monde qui dirigeait toutes choses :
“ Un souffle intérieur le nourrit, {a} diffus dans ses membres, l’esprit meut la masse tout entière et se mêle à ce corps puissant. [De là proviennent la race des hommes et des animaux, et les vies des oiseaux…] ” » {b}
- Nourrit le corps.
- Virgile, Énéide, chant vi, vers 726‑727, auxquels j’ai ajouté [entre crochets] la traduction du vers 728 : Inde hominum pecudumque genus vitæque volantum….