À André Falconet, le 22 mars 1661
Note [8]
« Jules [Mazarin] est enfin sous terre : c’est merveille qu’entouré par tant de bourreaux un larron ait tant peiné à mourir. » Guy Patin a plus tard (v. note [12], lettre 697) attribué ces deux vers à François Du Monstier (v. note [25], lettre 207).