À André Falconet, le 21 septembre 1666
Note [3]
Hormis les thèses qu’il a soutenues ou présidées devant la Faculté de médecine de Paris (v. note [21], lettre 80), le très influent François Guénault, meneur des antimoniaux et médecin des grands de la cour, n’a laissé aucun ouvrage imprimé.