« à cause du si grand nombre de gonorrhées [chaudes-pisses] et de bubons vénériens [v. note [5], lettre 482] mal soignés qui fleurissent ici. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 12 mai 1670, note 2.