À Nicolaas Heinsius, le 20 juin 1647
Note [2]
Paranymphe (v. note [8], lettre 3) est ici à prendre dans son sens primitif de jeune homme qui jadis, chez les Grecs, conduisait l’époux à ses noces (entremetteur).
Les affinités espagnoles que Guy Patin prête ensuite à Ægidius Huylenbroeck ne m’ont pas aidé à mieux l’identifier que dans la note [1] supra.