V. note [4], lettre latine 295, pour la « Bibliothèque romaine » de Philippus Carolus, qui est demeurée à l’état de manuscrit, et pour l’« Histoire générale des plantes » de Johann Theodor Schenck (déjà citée, v. supra note [1]).

Guy Patin désirait encore deux autres livres :

• Disputatio politica, in qua de Republica in genere, quædam divina favente gratia, permissu amplissimis Senatus Philosophici, præside M. Johanne Musæo Longoprat. Thur. publicè disputanda proponit Johannes Everharti Breitenb. Turing. in Auditorio Philosophorum ad diem 15. Augusti [Disputation politique, où il est question de la république en général, que Johannes Everhart, natif de Breitenberg, a proposée à la discussion publique dans la salle des philosophes le 15 août, par grâce divine, avec la permission de l’amplissime Conseil philosophique, sous la présidence de Johannes Musæus (1613-1681, professeur de théologie à l’Université d’Iéna en 1646), natif de Langewiesen en Thuringe] (Iéna, Steinmann, 1638, in‑8^o) ;

• Dei Simia, Diabolus, sive, Cacozelia Gentilium, sacris ipsorum plurimis demonstrata et publicæ censuræ exposita, præside J.M. Dilherro [Le Singe de Dieu, qui est le diable, ou la ridicule imitation des gentils, prouvée par plusieurs de leurs rites sacrés et exposée à la censure publique, sous la présidence de Johann Michael Dilherr] (Iéna, Steinmann, 1640, in‑8^o) de Johann Fabricius (1618-1676, pasteur et professeur de théologie à Altdorf).