À Werner Rolfinck, le 2 avril 1665
Note [1]
Allusion fort probable aux deux livres que Guy Patin avait envoyés en 1657 à Werner Rolfinck, par l’intermédiaire de Johann Georg Volckamer (v. note [1], lettre latine 81), et qui formaient une curieuse paire : la Fabrica humani corporis [Structure du corps humain] de Théophile Protospathaire (v. note [4], lettre latine 57), et les plus lestes Épîtres amoureuses d’Aristénète (v. note [10], lettre 901).
En 1662, tenant ces deux ouvrages pour un prêt ou en ne les jugeant pas à son goût, Rolfinck les avait renvoyés à leur expéditeur, qui s’en était un peu dépité (v. note [1], lettre latine 219).