À Johann Georg Volckamer, le 8 octobre 1666
Note [2]
« Puissent les dieux nous ménager des jours meilleurs [nous préserver d’un tel malheur] ! » (citation abrégée de Virgile, v. note [5], lettre 33) ; v. note [2], lettre 879, pour le gigantesque incendie qui avait ravagé Londres au mois de septembre.