À Johann Georg Volckamer, le 27 mai 1667
Note [2]
Sans doute l’Historia plantarum generalis [Histoire générale des plantes] de Johann Theodor Schenck (Iéna, 1656, v. note [4], lettre latine 295), qui se présente sous la forme d’une thèse unique et que Guy Patin attendait alors depuis plus de deux ans.