À Philippus Matthæus, le 24 octobre 1668
Note [1]
V. note [11], lettre 1032 (de même date que celle-ci), pour Jean-Antoine Tronchin, qui avait, semble-t-il, bien forcé la main de Guy Patin pour le faire écrire à son collègue frison Philippus Matthæus, dont il n’avait autrement jamais entendu parler.