V. notule {a‑2}, note [18] du Borboniana 5 manuscrit, pour l’avis de Catulle sur la sotte et irritante coutume de rire sans propos.

Cet article, inhabituellement long, du Borboniana, est entièrement à la louange de Claude Mareschal, « conseiller au Grand Conseil, puis reçu conseiller clerc [ecclésiastique] au Parlement le 26 septembre 1587, et [qui] mourut le 4 janvier 1624 » (Popoff, n^o 1670), après être monté à la Grand’Chambre.

Il apparaît deux fois sous le nom de Claude Le Mareschal dans l’Histoire du Parlement de Paris de l’avènement des rois Valois à la mort d’Henri iv par Édouard Maugis (Paris, Auguste Picard, 1916, in‑8^o, tome iii) :

• à l’année 1587 (page 272), « Clerc. Cons. au Grand Conseil, sous-diacre du 19 sept., consacré par l’archevêque de Bourges, sans congé de l’Ordinaire. Reçu, 28 sept. » ;

• et dans le Parlement de la Ligue, parmi les Conseillers anciens ayant prêté le serment d’Union ou siégé à Paris (page 277), avec Jérosme de Villars, « Prêtent serment le 26 janv. [1589]. Restés fidèles à la Ligue jusqu’à la fin. Réintégrés à Paris le 22 avril 1594. »

Parmi les quelques ouvrages juridiques publiés par Jacques Gouthière (ou Gouthières), natif de Chaumont-en-Bassigny (Vexin français), mort en 1638, {a} figurent les :

Jacobi Gutherii J.C. Civis Nobilis et Patricii Romani de Jure Manium, seu de Ritu, more et legibus prisci funeris, Libri iii. Ad Amplissimum atque Illustrissimum Nicolaum Verdunum Equitem, Sacri Consistorii Comitem, in suprema Parisiorum Curia Præsidem Maximum.

[Trois livres de Jacques Gouthière, jurisconsulte, gentilhomme et patricien romain, sur le Droit des mânes, ou du Rite, de la coutume et des lois des anciennes funérailles. Dédié au très éminent et illustre Nicolas de Verdun, {b} chevalier et comte du saint Consistoire, {c} premier président du Parlement de Paris]. {d}

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1. Michaud, 1847, volume 17, page 263.

2. V. infra note [48].

3. Tribunal pontifical de Rome.

4. Paris, Nicolaus Buon, 1615, in‑4^o de 546 pages

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La seule trace que j’ai trouvée d’un Dom Juliot, chartreux, est infime et improbable : elle se lit dans les Mémoires de M. d’Artagnan (tome second, page 47) de Gatien de Courtilz de Sandras, {a} dans un passage daté de 1651, sur un rendez-vous secret, « aux Chartreux », entre Hugues de Lionne {b} et le coadjuteur {c} « chez un certain Père nommé Dom Julliot ».

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1. Cologne, 1700, v. note [2] lettre 715.

2. V. note [9], lettre 188.

3. Jean-François-Paul de Gondi, v. note [18], lettre 186.

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