Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Borboniana 8 manuscrit
Note [36]
« La Flûte. À Robert Estienne :
Cette flûte qu’on t’a dérobée, toi le Pan français, ne sera jamais minuscule, etc. »
La Rhétorique d’Aristote. Les deux premiers livres traduits du grec en français par le feu Sieur Robert Estienne, poète et interprète du roi ès langues grecques et latines. Et le troisième par Robert Estienne, son neveu, avocat en Parlement. Avec une Table des matières. {c}
Signée Robert Étienne (le neveu), l’épître adressée à Jean-François de Gondi, premier archevêque de Paris (v. note [11], lettre 19), contient cette remarque :
« C’est ce {d} qui a rendu Aristote curieux à ce point que de venir recevoir le droit de bourgeoisie française, pour y admirer votre grandeur et, sous l’autorité de votre nom, marcher avec assurance par tout votre diocèse. Et sans doute il n’entrerait pas en cette défiance, n’était {e} qu’il a changé de guide, et que feu Robert Estienne, son premier truchement, {f} fut contraint de l’abandonner n’ayant traduit que ses deux premiers livres. »
- V. notule {a}, note [10] du Borboniana 8 manuscrit.
- V. note [14], lettre 748.
- Paris, « De l’imprimerie de Rob. Estienne, rue S. Jean de Beauvais », in‑8o de 516 pages.
- La piété et la bonne administration de l’archevêché de Paris.
- Sinon.
- Robert iii Estienne, son premier interprète.