Autres écrits : Ana de Guy Patin :
L’Esprit de Guy Patin (1709),
Faux Patiniana II-1
Note [12]
« Ce qui est surtout curieux et digne de remarque, c’est qu’on admire plus que les productions terminées les derniers morceaux des artistes, ceux mêmes qu’ils ont laissés imparfaits, comme l’Iris d’Aristide, les Tyndarides de Nicomaque, la Médée de Timomaque, et ce tableau d’Apelle dont nous avons déjà parlé, la Vénus. »
V. notes :