Autres écrits : Ana de Guy Patin :
L’Esprit de Guy Patin (1709),
Faux Patiniana II-3
Note [35]
Le début de cet article, mis entre guillemets anglais, reprend, en supprimant quelques détails (comme le nom du valet meurtrier), la fin de la lettre que Guy Patin a écrite à André Falconet le 30 novembre 1666 (v. ses notes [3]‑[6]).
La suite est un commentaire probablement brodé par les rédacteurs de L’Esprit de Guy Patin, où « je consulte la politique » veut dire « je me range à la conduite ».