À Vopiscus Fortunatus Plempius, le 4 septembre 1664, note 1.
Note [1]

« car je ne laisserai pas en héritage à la vieillesse un corps délabré par les fautes de jeunesse » ; adaptation de Cicéron (De la Vieillesse, chapitre ix) :

Libidinosa enim et intemperans adulescentia effœtum corpus tradit senectuti.

[Une jeunesse qui s’est adonnée sans mesure aux plaisirs laisse un corps délabré en héritage à la vieillesse].

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Vopiscus Fortunatus Plempius, le 4 septembre 1664, note 1.

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(Consulté le 27/04/2024)

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