À Charles Spon, le 13 mars 1657, note 15.
Note [15]

« où le plus grand secours est la saignée itérative des deux veines basiliques, {a} qui produit un sang entièrement corrompu et de couleur plombée. »


  1. Conformément aux conceptions antérieures à la découverte de la circulation du sang, on qualifiait ces deux veines d’hépatique au bras droit et de splénique au bras gauche, en raison de leurs liens supposés avec les viscères (v. note [3], lettre 144).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 13 mars 1657, note 15.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0469&cln=15

(Consulté le 26/04/2024)

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