Autres écrits : Consultations et mémorandums (ms BIU Santé  2007) : 10, note 2.
Note [2]

Une telle conception de la maladie est fort insolite sous la plume de Guy Patin : jamais, au grand jamais, il n’a fait intervenir la sympathie (v. note [4], lettre 188) dans le développement des maladies ; cette notion appartenait aux théories de la médecine chimique, celle de Paracelse et de Jan Baptist Van Helmont, qu’il exécrait de toute son âme. L’onguent hopliatrique et la poudre sympathique donnent deux exemples éloquents des charlataneries qu’engendrait la croyance en ces influences occultes (v. note [28] d’Une thèse de Guy Patin : « L’homme n’est que maladie » (1643)).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Autres écrits : Consultations et mémorandums (ms BIU Santé  2007) : 10, note 2.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8140&cln=2

(Consulté le 27/04/2024)

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