À Adolf Vorst, le 24 mai 1663, note 4.
Note [4]

Maladie contagieuse éruptive accompagnée d’atteintes viscérales diverses et parfois mortelles (pneumonie), la rougeole (morbilli, v. note [2], lettre 153) était alors tenue pour un empoisonnement (ou fermentation) particulier (ici bilieux) du sang ; la saignée en était donc le traitement logique. Le roi fut aussi frappé par cette maladie à la même époque (v. note [6], lettre 751).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Adolf Vorst, le 24 mai 1663, note 4.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1279&cln=4

(Consulté le 26/04/2024)

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